25 oct. 2018

Moitié du Monde

Visite de  la Mitad del Mundo et du cratère du Pululahua 

 

     On est enfin arrivé à destination. Nous avons pu rencontrer nos très chaleureux hôtes, Maria-José et Luís ainsi que leurs enfants José-Luís et Miguel. Maria-José est une amie d'école de maman qui avait déjà accueilli mes parents en 1998 lors de leur premier périple en Amérique du Sud.
  
     Juste le temps de s'installer, dormir un peu, se lever à 6h du mat' à cause du décalage horaire et on est parti pour une première journée de visite.

     Première escale, le cratère du Pululahua. Il s'agit des restes d'un volcan immense perché à plus de 3300 mètres d'altitude et heureusement accessible en voiture. Le tour du cratère est partiellement écroulé mais suffisamment grand pour que son intérieur soit habité et cultivé. Mais pas le temps de descendre, la journée s'annonce très chargée en activités et l'air pas assez en oxygène.






     En route pour la Mitad del Mundo, ou la moitié du monde dans la langue de La Condamine. En effet, cette ligne fictive que l'on appelle plus communément L’Équateur a été calculée par l'expédition française de Charles de La Condamine (qui, il est important de le préciser, est appelé Carlos en espagnol).
     On a ensuite construit sur cette ligne un musée/parc en hommage à cette expédition.


Reconstitution d'un village indigène...




... peuplé par des autochtones



Et hop, un pied dans chaque hémisphère !!!




     Du coup pour le midi, on a voulu goûter le cobaye rôti appelé "cuy" en espagnol. Mais à 25$ la portion, ils (se) cuisinaient sûrement des cuy en or. Du coup, on s'est rabattu sur le plus classique "Pollo, Choclo, Papas" ( poulet, maïs, patate) et on a fait par la même occasion connaissance avec la coriandre fraiche. Assez loin du goût de celle que l'on utilise couramment dans la cuisine occidentale, elle prend ici toute la place avec son goût très fort, et pas vraiment agréable pour les non-habitués. 



Les cuy dans leur état... heuuu ...vivant





  Écrit par Mathias

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire